Pour celui qui comme un cerf-volant
inspirait la gaieté
à ma vie - juridiquement parlant - sanctionnée
Cette fois, je jetterai l’ancre
Son âme m’appelle
Ses doigts me hantent
Pour un voyage dans le sourire
…lointain
Cette voix qui me berçait
Comme la nuit berce
La ville endormie
La ville sans vie.. la nuit
M’enfuire dans ces yeux
En faire ma lumière
Le courage me manquait
Et la chance m’en voulait
Les rosiers tentent l’oubli
Délaissés et seuls toujours
Les maux marquent la différence
…marquent mon impuissance
L’envie d’une main
…troublante
De ce souvenir qui me tente
De cette plage qui nous a unis
Un dimanche, l’âme vague
La passion au rendez-vous
Délaissée, mon âme plonge
Dans l’amertume d’une page noircie.
Son âme m’appelle
Ses doigts me hantent
Pour un voyage dans le sourire
…lointain
Cette voix qui me berçait
Comme la nuit berce
La ville endormie
La ville sans vie.. la nuit
M’enfuire dans ces yeux
En faire ma lumière
Le courage me manquait
Et la chance m’en voulait
Les rosiers tentent l’oubli
Délaissés et seuls toujours
Les maux marquent la différence
…marquent mon impuissance
L’envie d’une main
…troublante
De ce souvenir qui me tente
De cette plage qui nous a unis
Un dimanche, l’âme vague
La passion au rendez-vous
Délaissée, mon âme plonge
Dans l’amertume d’une page noircie.
Jihen M.
Encor un poême qui date de 1999
1 commentaire:
j'aime beaucoup, plus que l'autre peut etre parce que plus triste.......tres beau
sammael
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