mercredi 30 septembre 2009

Sculpture sur pastèque






C'est de l'art... éphémère

Chaque fois que le café d'enface de chez mes parents m'exaspère avec le brouhaha et les rires débiles jusqu'à quatre heures du matin, chaque fois que les trotoire sont encombrés par une foule acroupie à "savourer" un café froid, deux questions m'envahissent :
- quel plaisir trouvent-ils à quitter la douceur, la chaleur de leurs salles de séjour, le kess thé mna3na3 en famille pour venir supporter le CO2 des voitures, l'odeur de 20 à 30 chichas, le froid et l'humidité durant plusieurs heures?
- les jeunes en chomage, maitrisards ou pas, non rien de mieux à faire? Aucune activité qui peut leur être rentable? Aucune créativité?

lundi 28 septembre 2009

Les contrefacteurs doivent reproduire le petit Robert 1000 fois


"YOU SONT ALAWYS LE FIRTST IMPORTANT"

Le « client premier et le service premier »

Juste pour rire, le site d'une société spécialisée en contrefaçon de chaussures de sport:

vendredi 4 septembre 2009

Mon amour pour F. Beigbeder n'a duré que trois ans


Ce fut un temps où j'étais amoureuse de Frédéric Beigbeder quand il était critique littéraire dans Voici.

Son stayl, son jeu de style, son sarcasme, son aura et ses livres m'accaparaient. D'abord, "99 francs" et puis "Windows on the World". Pour moi, ces deux romans sont des chefs-d'oeuvre de la littérature NewGé dont je raffole, en sus de sa contribution au projet collectif "Revue Boredel".

"99 francs" est arrivé en plein boom publicitaire, écrit par un concepteur de publicité se mutilant lui-même et fusillant ses paires qui "nous proposent d'avoir des quantités d'choses qui donnent envie d'autres choses" et qui "nous font croire que le Bonheur c'est d'avoir de l'avoir plein nos armoires" comme chante l'adorable Alain Souchon.

"Windows on the Wolrd" est lui apparu en plein paranoïa post 11 septembre décrivant les derniers moments des clients du restaurant éponyme situé au 107ème étage de la Tour Nord du World Trade Center.

Et depuis le temps où il était devenu présentateur de "Des Livres et moi" sur Paris Première avec en "prayme" une émission spécial "nu", présentateur, chroniqueurs, invités et publics inclus, je n'ai plus relu un mot de lui, hors mis les potins people de son love story avec la fille de Johnny ou de sa consommation de "neige" et sa relaxation le surlendemain. Je pensais qu'il avait délaissé l'écriture pour se dandiner de boite de nuit en boite de nuit.

Et voilà qu'aujourd'hui, petit moment de détente sur le Net, je découvre, la sortie d'un nouveau roman de Frédéric Beigbeder qu'il a intitulé "un roman français", et à travers la bibliographie de l'auteur, je découvre des romans plus anciens, "l'égoïste romantique" paru en 2005, "au secours pardon" paru en 2007, mais surtout "l'amour dure trois ans" paru depuis 1997 et dont je n'en ai jusque là never entendu parlé.

A travers les citations de "l'amour dure trois ans", je retrouve le style poignant de Beigbeder qui me manque tant et je me promets de l'acheter à la première occasion.

Les citations: Extraits du roman l'amour ne dure que trois ans

- «Je souhaiterais être réincarné en magnétoscope VHS pour pouvoir effacer ces images qui me hantent.»

- «La beauté finit en laideur, le destin de la jeunesse est d’être flétrie, la vie n’est qu’un lent pourrissement, nous mourons chaque jour.»

- «Si votre femme est en train de devenir une amie, il est temps de proposer à une amie de devenir votre femme.»
- «Le divorce est un dépucelage mental.»

- «L’homme est un animal insatisfait qui hésite entre plusieurs frustrations.»

- «C’est donc cela, la vie d’adulte : construire des châteaux de sable, puis sauter dessus à pieds joints.»

- «L’amour est une catastrophe magnifique : savoir que l’on fonce dans un mur, et accélérer quand même.»

- «Aimer quelqu’un qui vous aime aussi, c’est du narcissisme. Aimer quelqu’un qui ne vous aime pas, ça, c’est de l’amour.»

Les extraits :

La première phrase

"L'amour est un combat perdu d'avance".


Morceau choisi
"On fait semblant d'être indifférent au divorce, mais arrive bientôt le moment terrible où l'on comprend être passé de 'La belle au bois dormant' à 'Nous ne vieillirons pas ensemble'. Adieu souvenirs charmants, il faut renoncer aux surnoms adorables qu'on se donnait, brûler les photos du voyage de noces, éteindre la radio quand on y entend une chanson que l'on fredonnait ensemble. (.. .) Les seules fois où l'on se croisera désormais, ce sera en présence d'une souriante avocate qui aura, par dessus le marché, le mauvais goût d'être enceinte jusqu'aux dents."

- chapitre : Palais de justice de Paris - page : 44 - éditeur : Gallimard - date d'édition : 2001 -

Extraits recueillis du site : evene.fr

mardi 1 septembre 2009

Trombone en coeur


C'est aussi simple que çà :)
Dites moi si vous reussissez... à déclarer votre flamme à votre... collègue