dimanche 29 avril 2007

Youthful mistakes or Errors of solitude?


Sometimes a stranger smiles and holds my hand
Without asking me to walk with him
Without knowing where he goes nor where from he comes
I walk
And I slide in the first skin of banana
It's not my fault if I'm a repulsed blonde
Caus' "No one likes to be alone"

vendredi 27 avril 2007

Incompréhension

Dave Barry pense que :
"Comme la Hongrie, le monde informatique a une langue qui lui est propre. Mais il y a une différence. Si vous restez assez longtemps avec des Hongrois, vous finirez bien par comprendre de quoi ils parlent."
Extrait des Chroniques déjantées d'internet


J'ajouterai que, je passerai toute ma vie à déchiffrer, je ne comprendrai jamais l'attitude d'un informaticien, bien particulier ;o)

mardi 17 avril 2007

Amour... Improbable


Alors que j'espérais la saison des amours,
je découvre dans son regard à la fois limpide et troublant
que l'amour n'a pas de raison... ni de saison

Trompée... souvent
Trempée...
Je me disais misanthrope
endurcie... tel un téton
Redoutant de me tremper... again
Je riais de ses efforts,
de ses manières emportées.
A l'eau, à l'eau
à l'auuuutre bout du fil
A l'eau, à l'eau
Mes créances, mes déroutes
Même pas le bout du doigt
j'y plonge entière... les yeux fermés
les pieds joints.
Je renoue ma chemise
et renoue avec la vie.
Je suis une fille trempée
un regard doré m'a assaillie
Entre les bras d'un homme à passions
Un délicieux frisson
libère des choses en "...ine"
Et une nouvelle vie déambule
toutes ses bulles.
Une vie... improbable...
intenable... des fois
un coeur qui scrute le ciel
... déroutant les présages
redoutant de se tromper,
again.

Jihen
16 avril 2007

jeudi 12 avril 2007

To us the life

I dug up, once again, an old poem telling a buried story:
Is there another doubt ?
gray amber of its affectionate look
escapes in the darkness of my drunk soul
Sighing a lyric complaint
The happiness bewitches me
such a heavenly bliss

We did not stop to say:
once the time softens, the dreams also
The life will be our idyll, our paradise
And each time that I feel more my pain
I am found out my sorrow

Jealously, I observed
at the dawn of the history, the tide
Blue of liberty, sky of the airfield
moors Adonis far from his follower
The absentee joins the memory
Nostalgic follower still waiting
A pastoral proverb adorining the anxiety:
Goodbye sorrows, to us the life.
Jihen,
28 décembre 1999

dimanche 8 avril 2007

Avec un garçon hors de prix jusqu'à l'aube

Un après midi agréable, une soirée sympathique et une nuit blanche, voici le bilan de ma journée. Le sommeil m'a fui. Alors, après avoir dérangé certains veilleurs, nourri mon yoshi, fais faire plusieurs courses à mon drône, rodé dans les blogs d'ici et d'ailleurs, mon after, était youtube. D'un thème à l'autre, au gré du hasard, je finis par tomber... des nues. Je continuerai ma soirée avec un garçon hors de prix, jusqu'à l'aube.
Ne m'regardez pas comme ça, certaines ont plus de chance que d'autres...





dimanche 1 avril 2007

Un rêve tendre... du papier à l'écran

Quand j'ai lu je l'aimais, je l'ai vraiment aimé lui... mais surtout elle. Anna Gavalda... Une Dame qui ne m'a offert qu'émotions jusque là. « Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est leur connerie, pas leurs différences... » me disait-elle. Je parcours toujours la dernière page avec le regret qu'on a de se réveiller d'un rêve, l'envie de ne pas ouvrir les yeux, de rester dans l'ambiance qu'elle a concocté. Elle a le don de me faire vivre hors de tout, rien que dans l'histoire. Elle me caresse en écrivant et Là dans mon coin, le monde changeait d'horizon.


Je me rappelle encore cet été les états d'âme que j'avais quand je lisais Ensemble, c'est tout, je me demandais ce que ça m'faisait si je me rasais le crâne, si je partirai vivre à Paris, loin de mon quotidien de jeune fille presque rangée (rongée, je voulais dire ou plutôt dérangée), faire des rencontres improbables, avec des gens Différents.
En lisant, je me disais que ça sera le top d'avoir une chambre de bonne au 16ème, d'errer dans les rues, de peindre à tout va, d'être libre comme l'air.
Chacun des personnages était peint avec tellement de détails croustillants que je les voyais défiler devant moi, me parlant comme si j'étais Camille. Du coup, je voulais que quelqu'un m'attend quelque part, un cuisto tendre et viril, un aristocrate bègue et féru d'Histoire... et quand ils sauvaient Paulette de la maison de repos, je m'activais, dans ma tête, pour faire vite.

Et une fois, la dernière page fut tournée, j'ai retrouvé, non sans regret, les mauvaises habitudes de la fille qui a renoncé à ses rêves pour s'ancrer dans la NORMALITE.

Hier, chez Zied, mon voisin et pirate de culture, j'ai remarqué les yeux d'Audrey Tautou qui pétillaient à son habitude, ches cheveux noirs et courts, comme j'ai tant souhaité les avoir, et ses fossettes. De premier abord, je n'ai pas remarqué qu'il s'agissait du même titre "Ensemble, c'est tout", je suis toujours distraite ;o)

Ce matin, en parcourant un nouveau blog, j'ai remarqué l'affiche du film, je me suis rendue à l'évidence, j'ai accouru chez mon voisin DVDthèque pour l'acquérir... pour voir si le rêve que j'ai vécu cet été est bien le même d'Audrey... Et bien étrangement, ça y ressemble vraiment :o)
PS: Ce post a été publié à 11h, contrairement à ce qu'affiche mon hébergeur...