mardi 22 juin 2010
Anais Nin refait peau neuve
samedi 5 juin 2010
Les mots d'après minuit
dans un verre d'eau
et rêve d'un au-delà plus joyeux
quand il fait semblant de m'oublier
et de traquer ses démons
en terre vaudoise
trinquant à la santé du colonel
quand les ondes l'emportent loin de moi
et ma tracklist m'emmène de volcan en volcan
les destins se croisent
et mes mots l'émeuvent
du fast au slow
tout nous oppose
Alors il sort*
Alors il dort*
rien de cela, juste une chanson
qui entame ce qui finit
Y'en a encore, j'entends de loin
Y'en a peut-être plus
Bah, si, ce bisou qu'il pose tendrement
le regard embrouillé me jurant qu'il m'aime
toujours
même survolant d'autres cieux
Il dansote
J'espère que cette musique cesse
et que je retourne à mon abris
et qu'il m'y rejoint
J'aime quand il se libère
des mille et une chaînes
dont il s'entoure le cou et les armes
J'aime quand il libère tous les prisonniers de son ombre
sans rançon et sans rancune
La nuit finira-t-elle?
et la mer qu'il verse de verre en verre?
et le vacarme qui m'étouffe
et les mots que j'enfante
je fouille la terre promise
cherchant un fruit, un diamant ou un trésor maudit
Il vient chercher l'autoroute de l'enfer
et dansote et dansote
Highway to hell*
l'ange du Paradis
l'homme de tous les contrastes
carbure au TNT*
Aucune fin ne se dessine
toutes les brosses
toutes les plumes
du Paon
toutes les couleurs
s'éteignent
au fond du cendrier
et moi... et moi
je finirai lasse et béate
un peu plus loin
4-5/06/2010
vendredi 21 mai 2010
to write few words here and there
the words were as swords;
hard and pure
But love always win
as you promised
You are the rainbow that colors my life
and the rainbow goes from black to pink
from red to gray
from me to me
from Hell to Johnny
as a sensational roller-coaster
Some ghosts are spying any greyness
and perhaps want to come out of my past
These are just poems,
words that I draw because I miss writing
and poems are often sad
sometimes I miss the sadness
and I invent a sad story
to write few words
Here and there
dimanche 2 mai 2010
Wandering soul' words
lundi 22 mars 2010
Autism by Tim Macpherson
samedi 2 janvier 2010
jeudi 26 novembre 2009
Quand Aid Al Adha coincïde avec le Thanksgiving

Des fêtes religieuses qui ne sont plus que des fêtes culinaires.
mardi 10 novembre 2009
Le français selon certains tunisiens
la remed de l emerwide:
mercredi 4 novembre 2009
Miami Horror - Sometimes
lundi 2 novembre 2009
lundi 19 octobre 2009
Cinquante et une lueurs
lundi 12 octobre 2009
Une réalité

jeudi 8 octobre 2009
Les guerres dans le monde en 1000 ans
mardi 6 octobre 2009
Recyclo-design


lundi 5 octobre 2009
Google Wave - L'e-mail 2.0 par une nulle pour les nuls
@ Dali : Merci pour l'invit' Google Wave !!!!!! Même si jusque là, j'y comprends pas grand chose, j'en suis suuuuuuuuuuuuuuuuper contente !!!!
mercredi 30 septembre 2009
Sculpture sur pastèque





C'est de l'art... éphémère
lundi 28 septembre 2009
Les contrefacteurs doivent reproduire le petit Robert 1000 fois

vendredi 4 septembre 2009
Mon amour pour F. Beigbeder n'a duré que trois ans
Ce fut un temps où j'étais amoureuse de Frédéric Beigbeder quand il était critique littéraire dans Voici.
Son stayl, son jeu de style, son sarcasme, son aura et ses livres m'accaparaient. D'abord, "99 francs" et puis "Windows on the World". Pour moi, ces deux romans sont des chefs-d'oeuvre de la littérature NewGé dont je raffole, en sus de sa contribution au projet collectif "Revue Boredel".
"99 francs" est arrivé en plein boom publicitaire, écrit par un concepteur de publicité se mutilant lui-même et fusillant ses paires qui "nous proposent d'avoir des quantités d'choses qui donnent envie d'autres choses" et qui "nous font croire que le Bonheur c'est d'avoir de l'avoir plein nos armoires" comme chante l'adorable Alain Souchon.
"Windows on the Wolrd" est lui apparu en plein paranoïa post 11 septembre décrivant les derniers moments des clients du restaurant éponyme situé au 107ème étage de
Et depuis le temps où il était devenu présentateur de "Des Livres et moi" sur Paris Première avec en "prayme" une émission spécial "nu", présentateur, chroniqueurs, invités et publics inclus, je n'ai plus relu un mot de lui, hors mis les potins people de son love story avec la fille de Johnny ou de sa consommation de "neige" et sa relaxation le surlendemain. Je pensais qu'il avait délaissé l'écriture pour se dandiner de boite de nuit en boite de nuit.
Et voilà qu'aujourd'hui, petit moment de détente sur le Net, je découvre, la sortie d'un nouveau roman de Frédéric Beigbeder qu'il a intitulé "un roman français", et à travers la bibliographie de l'auteur, je découvre des romans plus anciens, "l'égoïste romantique" paru en 2005, "au secours pardon" paru en 2007, mais surtout "l'amour dure trois ans" paru depuis 1997 et dont je n'en ai jusque là never entendu parlé.
A travers les citations de "l'amour dure trois ans", je retrouve le style poignant de Beigbeder qui me manque tant et je me promets de l'acheter à la première occasion.
Les citations: Extraits du roman l'amour ne dure que trois ans
- «Je souhaiterais être réincarné en magnétoscope VHS pour pouvoir effacer ces images qui me hantent.»
- «La beauté finit en laideur, le destin de la jeunesse est d’être flétrie, la vie n’est qu’un lent pourrissement, nous mourons chaque jour.»
- «L’homme est un animal insatisfait qui hésite entre plusieurs frustrations.»
- «C’est donc cela, la vie d’adulte : construire des châteaux de sable, puis sauter dessus à pieds joints.»
- «L’amour est une catastrophe magnifique : savoir que l’on fonce dans un mur, et accélérer quand même.»
- «Aimer quelqu’un qui vous aime aussi, c’est du narcissisme. Aimer quelqu’un qui ne vous aime pas, ça, c’est de l’amour.»
Les extraits :
La première phrase
"L'amour est un combat perdu d'avance".
Morceau choisi
"On fait semblant d'être indifférent au divorce, mais arrive bientôt le moment terrible où l'on comprend être passé de 'La belle au bois dormant' à 'Nous ne vieillirons pas ensemble'. Adieu souvenirs charmants, il faut renoncer aux surnoms adorables qu'on se donnait, brûler les photos du voyage de noces, éteindre la radio quand on y entend une chanson que l'on fredonnait ensemble. (.. .) Les seules fois où l'on se croisera désormais, ce sera en présence d'une souriante avocate qui aura, par dessus le marché, le mauvais goût d'être enceinte jusqu'aux dents."
- chapitre : Palais de justice de Paris - page : 44 - éditeur : Gallimard - date d'édition : 2001 -
Extraits recueillis du site : evene.fr
mardi 1 septembre 2009
Trombone en coeur
mercredi 26 août 2009
Only you can silence yourself
