Pour fêter cette nouvelle liberté d'expression (et l'essayer un peu, je ne m'y suis pas encore habituée), je vais sous servir un plat froid, un poème qui date de 1998, Naïve de mes 18 ans, je chantais déjà les maux muets. J'ai comme l'impression que ces mots sont encore d'actualité.
وأنا مازلت..
برغم القبر
.. غرباء
لا أنسى ولا أجزع
هذا عنقي.. وهذا جيبي
ولك أن تختار
فالأمس غير الأمس
ورقعة الشطرنج تلونها الدماء
وأنا مازلت..
برغم القهر
ما زلت دمعة شعبي
من قال بأن الوطن شراع حطّمه إعصار
جيهان معتوق
15 فيفري 1998
rien a ajouter ..sauf ses paroles de notre Aboulkassem ElChabbi :
RépondreSupprimerألا أيها الظَّالمُ المستبدُ
حَبيب الظَّلامِ، َدوّ الحياهْ
سَخرْتَ بأنّاتِ شَعْبٍ ضَعيفٍ
وكفُّكَ مخضوبة من دِماه
وَسِرْتَ تشَوِّه سِحْرَ الوجودِ
وتبذرُ شوكَ الأسى في رُباه
Bonjour,
RépondreSupprimerJe passais sur les quelques lignes de ton blog... je le trouve touchant... je te propose de l'intégrer dans mes liens...
www.jeteregarde.blogspot.com
@ Tunisie Libre : Abou El Kacem El Chebbi est la voix des tunisiens de tous les temps
RépondreSupprimer@ Adam Vernois, merci, je suis enchantée :)